Baladage sombre...

Le Baron Samedi n'y voyait que noirceur dans ces coins puants et sombreux du métro. Armée de ses armes, prêt à tirer sur n'importes-quels individus inconnues à ses yeux. Que faisait-il ici dans le métro ? Rien dû tout, ne fesant que sa balade noctune de tout les soirs. Baron Samedi était un membre de la mafia "Italiano del Italia". Il était leurs traducteur d'anglais & français, deux langues importantes, une internationnal et l'autre de passage dans d'autres mafias. Souvant, après sa journée, il allait se promener dans les coins de la ville comme le vieux-quartier ou à l'église pour méditer. Mais en ce jour-ci, ce n'était point pareil comme les autres temps qu'il faisait. Un drôle rôle de son instinc lui ammèna dans le coin du métro, un endroit qu'il ne fréquenta jamais, sauf, pour des missions. Seul dans un couloir large et sombre à l'égard des trains qui arrivèrent, il aperçut une drôle d'odeur bizarre. On dirait que cela sentais la décomposition d'un cadavre massacré ou des vidanges laisser à l'abandon inutilement.

*Mhum... quelle odeur désagréable ! Je pense que j'arrive à un secteur de débris sales, dégageant d'horribles puantries.*

Le Baron s'avança donc dans ces lieux. Il déboucha dans un coin où trois passages conduisaient à une sortie d'après-lui. Ayant mal aux pieds, il s'assoit sur un chaise vieille et pourrite. Il s'allumait une cigarette et fuma traquillement.

- Alors... voyons que puis-je prendre comme chemin...

Le Baron Samedi regarda les trois possibilitées qu'il s'offrait à lui. Celui de gauche menant à une courbe profonde qui continuait à deçendre dans un endroit encore sombre. Celui de droit tournait à une lumière orange et étrange. Tandis que celui devant-lui, montait vers ce qui semblait être une échelle.

- Voilà qui s'annonçe bien, celui de droite est tourné vers la gauche par une lumière orange que je me méfirais bien, celui de gauche ne fait que déçendre encore dans des lieux profondes et sombres et celui d'en avant semble mener à une échelle. Nous verrons tantôt, après cette cigarette.

Il fumait encore et termina sa cigarette. Il se reposa en méditant pendant 20 minutes et continua son chemin.

Oren avait pénétré le métro depuis des heures. Regardant la carte des tunnel quel avait en mains elle s'arreta a un embouchure.

Puis décida de prendre sur sa Gauche. Elle portait une valse noire. Les rats couraient entre les railles et passais sa montré le moindre signe de peur.

Elle avait reçu un message lui demandant de se rendre dans le métro pour 23h. Elle présentais que quelque chose se tramais mais quoi?

Et dons elle c'etait bien armé et préparé a toute éventualité.

Alors un bruit me réveila de mon sommeil de Morphée l'invincible. Des bruits de pas et mélangeant par ceux des rats s'aventuria ici où j'étais-je. Je me leva et retourna ma tête vers le passage que j'ai pris pour venir dans la pièce. Une femme aux cheveux de feu s'était mit les pieds ici. Était-ce elle que j'avais donné rendez-vous en ces lieux ? Je me souvenais pas vraiment.

- Bonsoir jeune femme, que vous faites-vous ici ? Ces passages sont d'un danger que pour vous n'y connaisseriez pas ! Alors... aurais-je celle que j'eu donné rendez-vous ? Si c'est cela, je suis sur bonne voie, alors si c'est le contraire que je prétenterais pas, eh bien, je m'amuserais avec vous !

Elle était jolie pour une jeune femme qui se balade dans ces coins-ci.

Cette endroit était salle mais dans son enfance elle avait connue plus sale encore. Elle continuait de marcher doucement.

Quelque chose bougea, le voyais dans la pénombre une silhouette. Ma main passa dans mon écrin et sortit mon neuf millimètre.
Une voix douce avec un accent italien me parla. Je me rapprochais et vue un homme au cheveux blond dune couleur or, avec des yeux bleu magnifique, et un visage d’ange.

C’était étrange…son accent Italien…Il faisait forcement partit de la mafia. Pourquoi un homme de la mafia m’enverai t-il un message. Un homme que je ne connaissais pas. Etais un piege, une embuscade

- C’est vous vous qui m’avez envoyer ce message.

O-Ren regardais dans les yeux.

- Vous ne plaisanterez pas…et vous vous amuserez avec moi…

Elle éclatai de rire, un petit rire amusé et moqueur.

- Essayer donc pour voir !

Mon arme était pointée sur sa jolie frimousse depuis le début.

je marchais dans le métro.

je vis deux personnes qui apparemment avaient l'air de s'entendre : un mafieux et un membre de la triade.

je décidai de rester dans mon coin, appréciant une cigarette.

Les rats goullaient...un vrai todis....Mon arme etait toujours pointé sur lui. Le fixant avec mes yeux.

- A qui ai- je l'honneur plaie Boy?

Sans quelle ne s'aperçoive de mon coup rapide, j'arracha des mains de la jeune femme son arme. L'objet s'envoya dans les airs et retomba par-terre. Puis, je ramassa l'arme et le garda dans la paume de ma main, tenant par le manche.

- Eh bien ! Tu as devant-toi le Baron Samedi, pardie ! Traite-moi mieux comme acceuille, jeune demoiselle, car, tu subiras les conséquences que je te donnerai.

Je lui redonna son arme. Je changea de dialect pour celui du français de ma funeste mère.

- N'ai crainde, je ne suis pas comme les autres membres de la mafia italienne, je ne tue pas l'ennemi sans qui m'aie faite de quoi ! L'ennemi de mon ennemi peut-il devenir "ami" ? Sûrement ! Moi ma job que j'ai c'est de tuer ceux que mon boss me livre sur sa liste ou bien si on me gage de quoi à 300 piases. Pardonne-moi, mais j'ai un français de ma mère, un autre sorte de parler français.

J’éclata de rire devant se petit novice de la mafia. Apparemment il ne c’était sûrement pas renseigner sur les personnes a ne pas approché ou défier un tel comportement ne reviendra qu’au suicide.

Bien que le neuf millimètre c’était envoler et retomba au sol a son action vers lui se trouvais un point rouge pointé vers sa poitrine. Je le tenais en joue l’autre main.

-Tu devrai faire attention a tes parole, tu ne sait vraiment a qui tu a faire. Tu nai as de taille contre moi. Je te le dis de suite. Apparemment ton style c’est le corps a corps. Ton boss ne pas mis au courant. Tu ne ferais pas long feu ici.

-Que me veux tu?

(Le "que me veux-tu" c'est moi qui dit ça ou toi ?)

- Si vous me relâcher, je vous expliquerais cela. Je vous l'ai dit, je ne vous veux aucun mal ! Je n'ai pas mes mains où bon se cacherais une arme.

Vraiment, je m'étais bien trop peu embarquer dans ces transports de son jeu violent. Je devais donc faire attention. Surveilla tout geste de sa part, j'attendis patienment quelle réponde. Alors j'avais en face de moi, une tueuse très forte, capable de me tuer d'un seul coup de ses balles, alors que je n'ai pas d'arme à feu. Je restais sous mes gardes, faisant attention à quels gestes fera-t-elle.

Je ne baissais pas mon arme, le gardant en joue, la seul chose que ne me fessait pas le tuer était qui avait une belle gueule. Je le regardais de haut en bas.

- Bon hé bien parle baron. Si ce que tu veux me dire est interresant je ne te tuerai pas mais c’est le contraire. Commence a courir. J’aime toujours donné un peu d’espoir a mes proies avant de les achever!!!

- J'ai besoin de quelqu'un à qui je puis avoir confiance, même si vous êtes ennemi chez les gens de la mafia, je dois tuer un certain....

Je me tût. Quelqu'un semblait fumer un cigarette et ce n'était pas moi, car, cela fesait bien des minutes que j'eu terminé. Qui était-ce ? Sûrement soit une personne de la mafia.

- Je ne peux vous le dire ici, car quelqu'un s'en prend d'un plaisir à écouter mes paroles. Découvrons la personne si vous voulez ? Ou à moins que vous voudriez savoir sur qui est-ce je tuerais ?

J'attendis la réponse de la charmante dame.

Cette home avais quelque chose de plutot interesant.

-Quelqu'un en qui vous pouvez avoir confiance vous dites. Sache que dans ce métier on ne fait confiance a personne. On se sert des gens pour arriver a ses objectifs. Comme tu l'as dit je suis nous somme ennemis toi de la mafia et moi de la triade.

-Dit pour quoi je t'aiderai en quoi que ce soit?Qu'est ce que cela m'apporterais?

L'odeur de cigarette parcourais mes narine, apparament nous étions as seul, quelqu'un d'autre étais la. Si je ne me trompais pas j'avais une peu etre une petite idée de qui se trouvais la.

-Tu as piquer ma curiosité...Mais voyons voir qui est notre invité!

Je suivie la jeune femme, tout douçement. Alors un invitée, quel plaisir ! Cela ferait une activitée de plus pour m'amuser. Mais je fûs étonné par ma découverte, car... l'invité ne l'était plus dans ces coins noirs. Sa cigarette était à l'abandon, non éteinte.

- Nous disions quoi tantôt ? Je pense que je vous demandais de m'aider à tuer un certain... "bras-droit" , si je me souviens... Qu'en dîte-vous de tuer le "bras-droit", ça vous fera bouger ? Ce sera une partie du genre "Qui gagnera?", qu'en dîtes-vous ? Dans la vie... le sport est quelque chose d'utile pour la conduision de notre corps physique, même si c'est une partie de tirer sur des gens en courant, mision d'éléminer de quoi !

-on parle de meurtre dans ma ville?

je piétinai ma cigarette approchant des étrangers.

-hum. ah la triade et la mafia...vous semblez vous entendre.que faites vous ici?

Je l’écoute et hausse les sourcilles

-Un bras droit, est tu sur de bien savoir se dont tu parle…Gamin

Je tourna mon autre arme en direction de la voix .

-Tiger…

sans me soucier de l'arme j'approche et regarde de haut la jeune asiatique sous mes lunettes de soleil.

je ne dégaine pas

ne sort pas d'arme

je rit

-marrant. vous avez besoin d'aide?

Une voix grave résonna dans la pièce. Je me retournai de vue et devant-moi se tenait un homme noir grand. Je l’observai quelques minutes et retourna ma vue sur la jeune femme.

- Je sais ce que je dis, chère dame. Je sais qu'un certain "bras-droit" que je dois me permettre d'éliminer par mes soins de tireur est présent dans la ville, mais où, je n’en sais rien !

Je me retournai pour regarder encore l’homme noir avec ses lunettes de fumée.

- Devant-moi se traîne le chef de cette ville, je suis pose ? Je suis honoré de vous rencontrez.

Je baisse mon arme que je pointai vers Tiger. Je rigole doucement.

-Vous etes une homme imprévisible Tiger.

-oui bébé fis-je en souriant