La piste 321

Jetait dans ma maison au lit avec un bel étalon, le reçu un cou de fil et décrocha.

-L’avion sera bientôt la

-Tres bien préparé, soyer bien équipé, je n’admettrai aucun échec ou surprise, j’arrive immédiatement.

Je raccrochai le téléphone.

-Tu t’en va me dit Sam

Je le regard et l’embrasse et lui sourie

-Les affaire m’appel chérie !!! Ferme en partant.

Je sortit du lit pris une douche et m’habilla. Entra dans ma voiture et me dirigea vers l’aeroport.
L’heure arrivais une cargaison de "poudre blanche", une poudre totalement pur qui n’était ni coupé ni chimique....sera ici bientôt. En provenance directement du Vietnam. Elle avait passer la frontière sans aucun problème comme je l’avais penser tout était parfait. C’était une cargaison très importante et qui allais totalement réamorcer l’industrie de la drogue si on pouvait appeler sa une industrie. Elle allait atterrir sur la piste 321.
Avec cette poudre non seulement le triade allais renversé le marché mais allais aussi devenir plus riche.

Assis dans mon bureau, les pieds sur la table et ma jolie Tatiana me faisant un de ses précieux massages, j'attends que ce foutu téléphone sonne. C'est quand je l'attends qu'il ne sonne pas, cet enfoiré.
Il sonne enfin. Je demande à Tina de sortir.
_ Allô Jaroslav ? Enfin, tu en a mis du temps, qu'est-ce que tu foutais? Ne me mens pas, Jaroslav... Tu sais ce qui arrive aux traitres... Bien Jaroslav. Bien. J'envoie quelqu'un. Allez-y d'abord. Mais ne vous vous faites pas repérez bandes d'incapables...
Je raccroche, bois une gorgée de scotch puis reprend le téléphone. Je compose le numéro de Ivan.
_ Camarade, appelle-moi mes tueurs, je les veux tous les trois tout de suite dans mon bureau...
Si tout se passe bien, ce qui n'était jamais le cas évidemment, nous prendrons notre revanche ce soir...

Ivan était venu me chercher dans ma chambre. J'étais en train de nettoyer mes armes et voilà que le chef veut qu'on passe à l'attaque ce soir.
Je me dirige vers son bureau. Il est assis et était impatient de nous voir. J'étais le premier arrivé, comme d'habitude!

-Alors c'est pour ce soir, hein?, lui dis-je en ôtant mon chapeau.

Je m'assieds ensuite dans le fauteuil en face de lui.

Je roulais en direction de l’aéroport, les tireurs étaient en position, l’avion n’allait pas tarder à atterrir. Je regardais ma montre. Je serai à la piste 321 dans 13 minutes.