Boulevard Louis XIV

Dans des contrées vieux de la ville, disons la banlieue, surgissait une bâtisse vieille en brique rouge. Grande comme la maison d'un ministre canadien et belle comme les maisons de brique québécoise, la bâtisse était chaussée de cinq étages, qui finissait avec un toit mansardé à six lucarne. C'était la maison ou villa du Baron Samedi, grandiose juste à voir comme si Versailles était devant nous. Autour de sa maison se dressait de jolie jardin à la française dans laquelle que le Baron allant souvent y séjourner. Même j'avais le droit à mon propres magnifique garage à la française, style Louis XIV. Personne ne s'y pouvait imaginer que le Baron Samedi, un simple novice de la Mafia, aurait un avantage aussi grand ! L'intérieur était aussi grandiose : le salon principale était surnommé le salon des Droits & des Jeux, la salle à souper était surnommé le salon de Bacchus, dieu du vins romain. Suivait une salle des soirées : le salon d'Aphrodite, déesse de l'Amour, c'était dans ce salon qu'on exécutait divers pièces de musique française ou sinon on transportait la télévision pour y regarder royalement. Il existait un salon digne pour la musique, étant donné que le Baron était quelqu'un de passionné de la musique à la française, époque du Roy-Soleil : le salon des Jeux & de l'Amour. Mais la plus grande salle de sa villa était le salon de Zeus, ce salon était un endroit d'où "on organisait feste et autre affaire solennel" comme des bals masqués, regroupement entre amis etc... La chambre du Baron était la copie exacte de la chambre du Roy-Soleil à Versailles, cela était d'une beauté, surtout à cause de son lit en forme de baldaquin. Chaque pièces avait sa propres cheminée et calorifères qui était important pour l'hiver. Pour s'y gâter, le Baron Samedi s'avait faite construire un temple de l'Amour où il rangea ses armes en cachette, utiliser pour bien plusieurs choses. Bref... c'était la "Plaque" du Baron, son domaine.

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Après une bref durée en ville, je décidais d'aller me reposer chez moi, dans mon vaste domaine en banlieue de la ville criante. Je garai ma voiture dans mon garage et je me dirigea vers le balcon de la maison "versaillaise". À mon étonnement, le journal était sur le tapis de la porte d'entrée. Je le pris et rentra dedans ma demeure. Des dizaines de courrier s'entraînait éparpier parterre. Je les ramassant tous et me dirigea vers le salon de Mercure, me reposer en regardant la télévision qui était installer là. Après quelques minutes à regarder la télé, j'eu l'idée d'aller me prendre un bain chaud dans mes appartements. J'avais un salon où se regroupaient douche et bain, grand et petit. Je pris le plus gros et le plus majestueux de mes bains qui s'y trouvait. Pendant que je fis couler le bain, j'en profitais pour essayer mon nouveau bain de mousse, le "Saphirousse", un bain aux régiments de la nature. J'embarqua dedans mon bain et prit mon journal pour le lire. On indiqua la mort d'un policier : Yagami Raito dans des conditions que je connais personnellement moi-même.

- Tiens, ce policier me dit de quoi, mais où-est-ce que je l'ai vue ?

Je mis mon journal de côté et je me relaxa dans mon bain.

» 23 rue Sunset Boulevard